COLET Louise, femme de lettres. Lettre Autographe (G 3415)

...Le Siècle a fait deux grosses fautes dans mes vers...

250,00 € TTC
Autographe disponible à la vente
Référence:
G 3415
Description

COLET (Louise Revoil, dite Louise).

Née à Aix-En-Provence. 1810-1876.

Femme de lettres, grand amour de Gustave Flaubert.
L.A.S. « Lse Colet » au directeur du journal "Le Siècle ".

S.l.n.d. 1 page 1/2 in-8.

 

Louise Colet signale que le journal ...Le Siècle a fait deux grosses fautes dans mes vers [...] Je viens d'ajouter une strophe, elle doit être placée après ce vers : "Toujours saignante à ce flanc généreux".

La voici : "Linceul pesant leur triple tyrannie, Ô liberté comprima ton essor, mais de ce peuple invisible génie, Ô liberté tu t'enflammas encore...

Si ces vers paraissaient dans quelque journal polonais je vous prierais de faire ces rectifications...

 

Le Siècle (1836 à 1932) a été créé en 1836 par Armand Dutacq ; ce quotidien monarchiste et libéral doit ses premiers succès à ses chroniques littéraires où s'illustrent notamment Charles Nodier, Alphonse Karr ou Honoré de Balzac, qui y publie plusieurs oeuvres. Républicain modéré en 1848, le journal connait son apogée sous le second Empire, en dépit de son opposition à la politique intérieure du régime. Quotidien favori de la bourgeoisie libérale, il se remet difficilement d'une interruption de parution durant la guerre de 1870, et subit la concurrence de quotidiens plus modernes comme Le Petit Journal. La publication de romans d'Emile Zola ou de Jules Vallès lui permet de conserver un lectorat fidèle, mais néanmoins déclinant. Son soutien à Alfred Dreyfus n'enraye pas non plus son recul auprès du lectorat républicain et libéral.  Il perd sa place de quotidien de premier ordre avec le premier conflit mondial, et finit par cesser de paraître en 1932.

Le Siècle (1836 à 1932) a été créé en 1836 par Armand Dutacq ; ce quotidien monarchiste et libéral doit ses premiers succès à ses chroniques littéraires où s'illustrent notamment Charles Nodier, Alphonse Karr ou Honoré de Balzac, qui y publie plusieurs oeuvres. Républicain modéré en 1848, le journal connait son apogée sous le second Empire, en dépit de son opposition à la politique intérieure du régime. Quotidien favori de la bourgeoisie libérale, il se remet difficilement d'une interruption de parution durant la guerre de 1870, et subit la concurrence de quotidiens plus modernes comme Le Petit Journal. La publication de romans d'Emile Zola ou de Jules Vallès lui permet de conserver un lectorat fidèle, mais néanmoins déclinant. Son soutien à Alfred Dreyfus n'enraye pas non plus son recul auprès du lectorat républicain et libéral.  Il perd sa place de quotidien de premier ordre avec le premier conflit mondial, et finit par cesser de paraître en 1932.

Détails du produit
G 3415
QR Code

Scan this code! phone_iphone

Produits liés
Vus récemment

Menu

Paramètres

Cliquer pour plus de produits.
Aucun produit n'a été trouvé.

Créez un compte gratuit pour sauvegarder les articles aimés.

Se connecter

Créez un compte gratuit pour utiliser les listes de souhaits.

Se connecter